Par ici la monnaie ! . Petite métaphysique du fric
Clavier Paul
CERF
Résumé :
Hier, la monnaie et le crédit facilitaient l'échange. Aujourd'hui, ils divisent et écrasent. Le coupable désigné est vite trouvé : ce serait la finance internationale. Ce qui nous évite de nous interroger sur le tréfonds de nos mentalités. Un essai corrosif pour, enfin, régler nos comptes avec l'argent. La monnaie ? Alors qu'elle a été inventée pour faciliter l'échange des biens et des services, elle est devenue signe de division et facteur d'inégalité. Le crédit ? Alors qu'il a été instauré pour faire circuler la monnaie et libérer l'initiative, il a fini par écraser Etats et particuliers sous le poids de la dette. Désormais, c'est la gestion des déficits qui arbitre nos choix sanitaires, éducatifs, sociaux, environnementaux. Le coupable idéal, et tout trouvé, c'est donc " la finance " : marchés dérégulés, actionnaires sans coeur, fonds d'investissement indifférents au sort de la planète. Mais à quoi bon dénoncer la cupidité des uns et la rapacité des autres, si on n'en dévoile pas les ressorts ? La source de notre asservissement est peut-être cachée dans le tréfonds de nos mentalités. Et si le vilain petit financier, c'était chacune et chacun d'entre nous ? Enjambant les débats ésotériques, cette "Petite métaphysique du fric" interroge ce qu'est la monnaie dans nos têtes, ce qu'elle devient entre nos mains, et défie notre tendance à désigner les coupables sans nous remettre en cause.
Hier, la monnaie et le crédit facilitaient l'échange. Aujourd'hui, ils divisent et écrasent. Le coupable désigné est vite trouvé : ce serait la finance internationale. Ce qui nous évite de nous interroger sur le tréfonds de nos mentalités. Un essai corrosif pour, enfin, régler nos comptes avec l'argent. La monnaie ? Alors qu'elle a été inventée pour faciliter l'échange des biens et des services, elle est devenue signe de division et facteur d'inégalité. Le crédit ? Alors qu'il a été instauré pour faire circuler la monnaie et libérer l'initiative, il a fini par écraser Etats et particuliers sous le poids de la dette. Désormais, c'est la gestion des déficits qui arbitre nos choix sanitaires, éducatifs, sociaux, environnementaux. Le coupable idéal, et tout trouvé, c'est donc " la finance " : marchés dérégulés, actionnaires sans coeur, fonds d'investissement indifférents au sort de la planète. Mais à quoi bon dénoncer la cupidité des uns et la rapacité des autres, si on n'en dévoile pas les ressorts ? La source de notre asservissement est peut-être cachée dans le tréfonds de nos mentalités. Et si le vilain petit financier, c'était chacune et chacun d'entre nous ? Enjambant les débats ésotériques, cette "Petite métaphysique du fric" interroge ce qu'est la monnaie dans nos têtes, ce qu'elle devient entre nos mains, et défie notre tendance à désigner les coupables sans nous remettre en cause.
14,00 €
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EAN
9782204139670
Caractéristiques
EAN | 9782204139670 |
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Titre | Par ici la monnaie ! . Petite métaphysique du fric |
Auteur | Clavier Paul |
Editeur | CERF |
Largeur | 125mm |
Poids | 222gr |
Date de parution | 04/06/2020 |
Nombre de pages | 185 |
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