ERP. Méthode pratique de mise en oeuvre pour PME et PMI
Extrait de l'introduction
Des PGI aux ERP
Pour gérer leurs activités, les entreprises ont compris depuis longtemps l'intérêt des PGI (Progiciels de gestion intégrés), qui représentent des économies substantielles par la saisie des informations à la source et leur propagation dans toutes les fonctions impactées du système de gestion. Ces PGI étaient alors généralement mis en oeuvre par leur concepteur.
L'arrivée des ERP (Enterprise Resource Planning) sur le marché dans les années 1990 a marqué une avancée considérable des offres progicielles en matière de possibilités d'adaptation aux besoins des entreprises, grâce à un paramétrage beaucoup plus développé, permettant une intégration complète de l'ensemble des flux logistiques jusqu'au système d'information financier.
L'apparition de ces ERP a nécessité l'élaboration de nouvelles méthodes de mise en oeuvre qui soient adaptées à la grande flexibilité de ces applications informatiques. Là où la mise en oeuvre des PGI avait du mal à se positionner par rapport aux méthodes informatiques traditionnelles, il était nécessaire de concevoir une méthodologie prenant en compte les aspects humains et le nombre grandissant des choix de paramétrage et d'utilisation, si caractéristiques des ERP.
Véritable bibliothèque de fonctions (repository, en anglais), un ERP pourrait être ainsi comparé au jeu du Meccano, puisque en assemblant ces fonctions selon les besoins de l'entreprise, il faut toujours vérifier la stabilité de l'édifice avant de «resserrer les boulons». En effet, une fonction ou un choix de paramétrage n'est considéré comme définitif dans un ERP que lorsqu'une simulation globale a été réalisée sur l'ensemble des processus, certains choix de paramétrage étant en effet incompatibles.
Origine de la méthode
Cet ouvrage est le fruit de la recherche et de la mise en oeuvre d'une méthodologie destinée à apporter un rapport qualité/coût optimisé, autrement dit une satisfaction maximale de l'utilisateur pour un minimum de charge de travail.
Cette satisfaction maximale se concrétise par la production d'une documentation écrite en langage métier destinée à l'utilisateur, car il est important qu'il sache pourquoi et comment renseigner telle ou telle information d'un écran de saisie comportant de multiples choix. En ce sens, on peut parler d'une certaine culture de l'écrit, dont l'objectif est de rédiger tous les choix et les recommandations d'utilisation élaborés au cours d'un projet.
L'objectif d'optimisation des charges de travail se traduit quant à lui par la production de livrables en cours de projet, qui pourront être réutilisés pour établir les documentations destinées à l'utilisateur final, évitant ainsi toutes recopies improductives de documents.
Des PGI aux ERP
Pour gérer leurs activités, les entreprises ont compris depuis longtemps l'intérêt des PGI (Progiciels de gestion intégrés), qui représentent des économies substantielles par la saisie des informations à la source et leur propagation dans toutes les fonctions impactées du système de gestion. Ces PGI étaient alors généralement mis en oeuvre par leur concepteur.
L'arrivée des ERP (Enterprise Resource Planning) sur le marché dans les années 1990 a marqué une avancée considérable des offres progicielles en matière de possibilités d'adaptation aux besoins des entreprises, grâce à un paramétrage beaucoup plus développé, permettant une intégration complète de l'ensemble des flux logistiques jusqu'au système d'information financier.
L'apparition de ces ERP a nécessité l'élaboration de nouvelles méthodes de mise en oeuvre qui soient adaptées à la grande flexibilité de ces applications informatiques. Là où la mise en oeuvre des PGI avait du mal à se positionner par rapport aux méthodes informatiques traditionnelles, il était nécessaire de concevoir une méthodologie prenant en compte les aspects humains et le nombre grandissant des choix de paramétrage et d'utilisation, si caractéristiques des ERP.
Véritable bibliothèque de fonctions (repository, en anglais), un ERP pourrait être ainsi comparé au jeu du Meccano, puisque en assemblant ces fonctions selon les besoins de l'entreprise, il faut toujours vérifier la stabilité de l'édifice avant de «resserrer les boulons». En effet, une fonction ou un choix de paramétrage n'est considéré comme définitif dans un ERP que lorsqu'une simulation globale a été réalisée sur l'ensemble des processus, certains choix de paramétrage étant en effet incompatibles.
Origine de la méthode
Cet ouvrage est le fruit de la recherche et de la mise en oeuvre d'une méthodologie destinée à apporter un rapport qualité/coût optimisé, autrement dit une satisfaction maximale de l'utilisateur pour un minimum de charge de travail.
Cette satisfaction maximale se concrétise par la production d'une documentation écrite en langage métier destinée à l'utilisateur, car il est important qu'il sache pourquoi et comment renseigner telle ou telle information d'un écran de saisie comportant de multiples choix. En ce sens, on peut parler d'une certaine culture de l'écrit, dont l'objectif est de rédiger tous les choix et les recommandations d'utilisation élaborés au cours d'un projet.
L'objectif d'optimisation des charges de travail se traduit quant à lui par la production de livrables en cours de projet, qui pourront être réutilisés pour établir les documentations destinées à l'utilisateur final, évitant ainsi toutes recopies improductives de documents.
39,50 €
Impression à la demande
Impression à la demande
Certains ouvrages sont imprimés à la demande par les éditeurs.
Ils sont signalés dans le site de cette manière:
Pour ces titres, un délai supplémentaire de 5 à 10 jours peut être nécessaire.
Les commandes de ces ouvrages sont réputées ferme.
EAN
9782212127164
Caractéristiques
EAN | 9782212127164 |
---|---|
Titre | ERP. Méthode pratique de mise en oeuvre pour PME et PMI |
Auteur | Jouffroy Philippe - Wauquier Jacques |
Editeur | EYROLLES |
Largeur | 170mm |
Poids | 801gr |
Date de parution | 24/06/2010 |
Nombre de pages | 317 |
Emprunter ce livre | Vente uniquement |