Quand je te frappe. Portrait de l'écrivaine en jeune épouse
Kandasamy Meena - Bellehigue Myriam
ACTES SUD
Description :
Au sortir d'une relation secrète avec un homme politique, une jeune écrivaine épouse un brillant universitaire qui milite contre toutes les oppressions. À peine le mariage célébré, le "mari-camarade" l'emprisonne dans un terrible huis clos régi par la violence. Sous prétexte de la libérer, il l'enferme et s'emploie à l'anéantir. Un récit de survie étonnamment lumineux qui apporte un éclairage singulier sur les violences faites aux femmes, en Inde et dans le monde. L'auteur met au jour, dans ce texte à la fois très intime et très littéraire, le véritable mécanisme de défense que constitue le rapport à la fiction.
4e de couverture :
Alors qu'elle se remettait d'une déception amoureuse, la narratrice, prise entre ses aspirations et les attentes de ses parents, s'est quelque peu précipitée dans le mariage. L'heureux élu est un brillant universitaire, un admirable militant - l'homme idéal ?
Mais la jeune femme déchante vite, confi née dans sa maison à Mangalore, loin de sa famille, de ses amis. C'est d'abord ses habitudes que son mari entreprend de réformer : il faut qu'elle cesse de passer tant de temps sur internet, sur sa boîte mail, sur les réseaux sociaux - et puis, finalement, sur son ordinateur. Pour elle qui vit de son écriture, c'est presque un arrêt de mort. Il faut qu'elle devienne une parfaite femme du peuple, qu'elle assimile et incarne la doctrine marxiste. Et surtout, surtout, qu'elle respecte son époux et se conforme en tout point à ses désirs. Cet "endoctrinement" passe par la violence, qui emprunte toutes les ramifications possibles, plus perverses les unes que les autres.
Pour ne pas sombrer, la narratrice lutte, elle écrit dans sa tête, imaginant comment raconter son histoire, cherchant la moindre faille. Peu à peu, elle invente un stratagème afin de s'en sortir, de garder le contrôle de sa propre vie. De ne pas disparaître.
Porté par une voix puissante, ce récit de survie polymorphe, étonnamment lumineux, offre un éclairage salutaire sur les violences faites aux femmes, en Inde et dans le monde. Créant une tonalité singulière, à la fois intime et littéraire, l'auteur décortique avec rage et brio le mécanisme de défense inaltérable que constitue le rapport à la fiction.
Au sortir d'une relation secrète avec un homme politique, une jeune écrivaine épouse un brillant universitaire qui milite contre toutes les oppressions. À peine le mariage célébré, le "mari-camarade" l'emprisonne dans un terrible huis clos régi par la violence. Sous prétexte de la libérer, il l'enferme et s'emploie à l'anéantir. Un récit de survie étonnamment lumineux qui apporte un éclairage singulier sur les violences faites aux femmes, en Inde et dans le monde. L'auteur met au jour, dans ce texte à la fois très intime et très littéraire, le véritable mécanisme de défense que constitue le rapport à la fiction.
4e de couverture :
Alors qu'elle se remettait d'une déception amoureuse, la narratrice, prise entre ses aspirations et les attentes de ses parents, s'est quelque peu précipitée dans le mariage. L'heureux élu est un brillant universitaire, un admirable militant - l'homme idéal ?
Mais la jeune femme déchante vite, confi née dans sa maison à Mangalore, loin de sa famille, de ses amis. C'est d'abord ses habitudes que son mari entreprend de réformer : il faut qu'elle cesse de passer tant de temps sur internet, sur sa boîte mail, sur les réseaux sociaux - et puis, finalement, sur son ordinateur. Pour elle qui vit de son écriture, c'est presque un arrêt de mort. Il faut qu'elle devienne une parfaite femme du peuple, qu'elle assimile et incarne la doctrine marxiste. Et surtout, surtout, qu'elle respecte son époux et se conforme en tout point à ses désirs. Cet "endoctrinement" passe par la violence, qui emprunte toutes les ramifications possibles, plus perverses les unes que les autres.
Pour ne pas sombrer, la narratrice lutte, elle écrit dans sa tête, imaginant comment raconter son histoire, cherchant la moindre faille. Peu à peu, elle invente un stratagème afin de s'en sortir, de garder le contrôle de sa propre vie. De ne pas disparaître.
Porté par une voix puissante, ce récit de survie polymorphe, étonnamment lumineux, offre un éclairage salutaire sur les violences faites aux femmes, en Inde et dans le monde. Créant une tonalité singulière, à la fois intime et littéraire, l'auteur décortique avec rage et brio le mécanisme de défense inaltérable que constitue le rapport à la fiction.
22,00 €
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EAN
9782330133993
Caractéristiques
EAN | 9782330133993 |
---|---|
Titre | Quand je te frappe. Portrait de l'écrivaine en jeune épouse |
Auteur | Kandasamy Meena - Bellehigue Myriam |
Editeur | ACTES SUD |
Largeur | 115mm |
Poids | 238gr |
Date de parution | 04/03/2020 |
Nombre de pages | 252 |
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