Droit et rock
Mastor Wanda - Marguénaud Jean-Pierre - Marchadier
DALLOZ
Résumé :
La musique rock, depuis les déhanchements lascifs d'Elvis Presley qui avaient tant choqué l'Amérique puritaine, a toujours été associée à l'idée de subversion. Depuis ses origines, le rock a donc pris l'habitude de gêner, de bousculer, de véhiculer des discours et des valeurs en faisant plus de " bruit " que les autres, de manière d'autant plus efficace qu'il s'adresse avant tout à un auditoire jeune et avide de changements. Face à une musique qualifiée - à tort ou à raison - de perturbatrice, l'État de droit adopte une double posture : tantôt il essaie de refréner ce facteur de subversion qui, au nom de la liberté d'expression notamment, ne saurait bafouer l'ordre public ; tantôt il cherche à protéger cette musique au nom du même fondement. La question des rapports entre la musique rock et le droit embrasse celle, plus classique, de la posture d'un État de droit face à plusieurs intérêts qu'il se doit de concilier. Une autre vision renvoie cette fois à une acception positive d'une musique qui se mue en alliée de la promotion de la démocratie. Grâce aux musiciens dits " engagés ", le rock n'est plus seulement facteur de subversion ou objet de protection ; il est, bien au-delà, vecteur des droits de l'homme. Juristes publicistes, privatistes, économistes, sociologues et critiques musicaux ont, le temps d'un colloque, croisé leurs regards sur ces rapports atypiques.
La musique rock, depuis les déhanchements lascifs d'Elvis Presley qui avaient tant choqué l'Amérique puritaine, a toujours été associée à l'idée de subversion. Depuis ses origines, le rock a donc pris l'habitude de gêner, de bousculer, de véhiculer des discours et des valeurs en faisant plus de " bruit " que les autres, de manière d'autant plus efficace qu'il s'adresse avant tout à un auditoire jeune et avide de changements. Face à une musique qualifiée - à tort ou à raison - de perturbatrice, l'État de droit adopte une double posture : tantôt il essaie de refréner ce facteur de subversion qui, au nom de la liberté d'expression notamment, ne saurait bafouer l'ordre public ; tantôt il cherche à protéger cette musique au nom du même fondement. La question des rapports entre la musique rock et le droit embrasse celle, plus classique, de la posture d'un État de droit face à plusieurs intérêts qu'il se doit de concilier. Une autre vision renvoie cette fois à une acception positive d'une musique qui se mue en alliée de la promotion de la démocratie. Grâce aux musiciens dits " engagés ", le rock n'est plus seulement facteur de subversion ou objet de protection ; il est, bien au-delà, vecteur des droits de l'homme. Juristes publicistes, privatistes, économistes, sociologues et critiques musicaux ont, le temps d'un colloque, croisé leurs regards sur ces rapports atypiques.
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EAN
9782247106684
Caractéristiques
EAN | 9782247106684 |
---|---|
Titre | Droit et rock |
Auteur | Mastor Wanda - Marguénaud Jean-Pierre - Marchadier |
Editeur | DALLOZ |
Largeur | 157mm |
Poids | 325gr |
Date de parution | 06/04/2011 |
Nombre de pages | 200 |
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