Rome, sous les pierres comme au ciel. Un cycliste sous les coupoles
Résumé :
"Je suis descendu à Roma Termini, raconte Jean-Pierre Poinas, cette gare dont le nom sonne comme une limite. J'ai acheté un vélo, galopé sur les pavés, levé les yeux aux plafonds des basiliques. La tête m'a tourné, j'ai abandonné ma plume à un narrateur, des personnages sont apparus. J'avais franchi sans le savoir les frontières du récit de voyage". Ce livre commence par une pérégrination d'esthète dans la grande belleza de la ville baroque : viols et enlèvements, décapitations, ossuaires, l'érotisme et la mort sont partout, effrayants et délectables.
Mais au détour d'un chapitre, le narrateur tombe en arrêt devant la Sainte-Cécile de Stefano Maderno : bouleversante de tendresse, la belle au marbre dormant est-elle morte, est-elle vivante, est-elle véritablement intacte depuis 1376 ans ? Pourquoi le cardinal Sfondrati a-t-il fait appel à un copiste, et non à un sculpteur pour la façonner ? Fini, l'insouciance du cyclotouriste, l'enquête commence : retour sur la Rome antique, via la mystérieuse bibliothèque Angelica.
Chemin faisant, surgissent Monica, l'ambulancière du Métavers, Mario, le sosie de Léonard qui répare les vélos, "Stefano" , photographe raté, mandaté par un magazine catholique, et puis ce moine fantomatique qui finit sur un bûcher. A son tour, le lecteur épris d'humour et d'impertinence ne manquera pas de descendre à Roma Termini, en écoutant Women is loser de Janis Joplin. Et quand l'émotion l'aura rattrapé, il éprouvera la sainte impatience d'en savoir plus, pareille à celle que l'auteur a satisfaite en écrivant ce truculent Rome, la tête à l'envers.
"Je suis descendu à Roma Termini, raconte Jean-Pierre Poinas, cette gare dont le nom sonne comme une limite. J'ai acheté un vélo, galopé sur les pavés, levé les yeux aux plafonds des basiliques. La tête m'a tourné, j'ai abandonné ma plume à un narrateur, des personnages sont apparus. J'avais franchi sans le savoir les frontières du récit de voyage". Ce livre commence par une pérégrination d'esthète dans la grande belleza de la ville baroque : viols et enlèvements, décapitations, ossuaires, l'érotisme et la mort sont partout, effrayants et délectables.
Mais au détour d'un chapitre, le narrateur tombe en arrêt devant la Sainte-Cécile de Stefano Maderno : bouleversante de tendresse, la belle au marbre dormant est-elle morte, est-elle vivante, est-elle véritablement intacte depuis 1376 ans ? Pourquoi le cardinal Sfondrati a-t-il fait appel à un copiste, et non à un sculpteur pour la façonner ? Fini, l'insouciance du cyclotouriste, l'enquête commence : retour sur la Rome antique, via la mystérieuse bibliothèque Angelica.
Chemin faisant, surgissent Monica, l'ambulancière du Métavers, Mario, le sosie de Léonard qui répare les vélos, "Stefano" , photographe raté, mandaté par un magazine catholique, et puis ce moine fantomatique qui finit sur un bûcher. A son tour, le lecteur épris d'humour et d'impertinence ne manquera pas de descendre à Roma Termini, en écoutant Women is loser de Janis Joplin. Et quand l'émotion l'aura rattrapé, il éprouvera la sainte impatience d'en savoir plus, pareille à celle que l'auteur a satisfaite en écrivant ce truculent Rome, la tête à l'envers.
18,90 €
Disponible sur commande
EAN
9782356393647
Caractéristiques
EAN | 9782356393647 |
---|---|
Titre | Rome, sous les pierres comme au ciel. Un cycliste sous les coupoles |
Auteur | Poinas Jean-Pierre |
Editeur | ELYTIS |
Largeur | 150mm |
Poids | 246gr |
Date de parution | 12/05/2023 |
Nombre de pages | 168 |
Emprunter ce livre | Vente uniquement |